Pour vous aider à décrypter la situation que nous vivons concernant notre église, visionnez cette vidéo de 10 minutes très éclairante jusqu’au bout ! Découvrez les manœuvres des autorités. Mobilisons-nous pour ne pas en arriver là ! ! !
Reçu d’un riverain proche de notre église qui « ne trouve plus le sommeil tant il est inquiet depuis la réunion d’information du mercredi soir 3 avril ».
– Destruction de l’église de Gesté en Mayenne, département Maine et Loire : destruction d’une église en bon état par le maire sans tenir compte de l’opposition locale ! C’est le maire qui aurait appelé un jour les pelleteuses pour procéder à la démolition de l’église.
Elle était en bon état, elle était unique dans la commune, il n’y avait pas d’autre édifice qui ait une pareille présence dans la commune de Gesté. Le seul édifice important qui faisait marque, qui faisait l’honneur de la commune, c’était l’église.
Restaurée entièrement en 1969, elle n’est plus que gravas dispersés sur un chemin, tout a été cassé, vitraux, colonnes, pierres bleues, pierres sculptées, broyées par la pelleteuse.
« Des malades mentaux ! », dit par deux fois, le maçon restaurateur de patrimoine ancien.
– Abbeville dans le Nord Pas de Callais, une superbe église saint Jacques en plein centre ville détruite en 2013, une « église superbe, un crime d’avoir démonté ça ».
« Sans l’église, le quartier n’a plus son âme.
Où est le respect des personnes qui croient ?
Où est le respect des personnes qui l’ont construite, de leur travail ?
Où est le respect des personnes qui s’y sont mariées, baptisées, qui y ont communié…
C’est leur histoire qu’on leur vole. »
On aurait dépensé 350.000 euros pour détruite l’église d’Abbeville.
Pour justifier ce massacre, la municipalité annonçait un chiffre invérifiable : 10 millions d’euros pour restaurer une église soi-disant en mauvais état.
– Méthode sournoise qu’appliquent beaucoup d’élus, qui consiste à tout simplement abandonner, on ferme les portes un jour, et on laisse mourir l’église de sa belle mort.
Si vous faites ça chez vous, vous ne mettez plus de chauffage, plus d’électricité, plus de travaux quand le vent soulève les tuiles ou ardoises. En 10 ou 20 ans, c’est fini, des problèmes de structure apparaissent, des fissures, des fuites importantes, etc.
La commune n’a soi-disant pas les moyens de restaurer quoi que ce soit.
Etat, régions, départements, jouent la carte du silence.
Résultat : le maire, la mort dans l’âme, doit prendre la décision de détruire l’église.
L’élu dit alors : « j’aimerais bien, mais c’est en tellement mauvais état, que puis-je faire ? La solution la plus rationnelle, c’est de détruire. »
Et les gens diront : « le pauvre, il aurait bien voulu, mais il n’avait pas le choix. »
Alors qu’en réalité, il est complice depuis 20 ans !
– Il existe des maires qui à l’évidence manifestent un mépris pour le patrimoine et pour l’histoire de leur pays, d’autres au contraire se battent pour les conserver. Qu’on le veuille ou non, tout ce patrimoine religieux fait partie de l’histoire de la France. Et invoquer comme le font désormais beaucoup de politiques, le coût d’entretien de ces édifices pour justifier leur destruction est un argument bien hypocrite.
Il faut ajouter en effet à cela l’aversion manifestement de plus en plus grande d’un grand nombre de personnalités politiques françaises pour le catholicisme en particulier.
Enfin en dehors de quelques actions locales, si les français manifestent aussi peu de résistance face à l’effacement de leur patrimoine religieux, de leur histoire religieuse vieille de 15 siècles, c’est en raison de l’effondrement de la pratique dans le pays.